Ne me déteste pas trop,
Tu y perdrais si peu
Tes forces seront vaines
A me rendre ivre morte
En plein après midi.
Ne prend pas cette peine,
Ce serait fatiguant,
De tenter de me rendre folle
En ignorant ma peine
Qui sentirait l’alcool.
Quand tu sentiras, toi, le souffle,
Ivre saoul, de ma haine
Si douce.
Tu prendras ta brosse à dent, et ton humour en marche
Oui, je m’en moque, Mon amour
Je connais d’autres femmes,
que j’aurais mieux choisies.
J’aurais la gueule de bois
A vingt et une heure trente,
D’avoir vomi mon rêve
Cuvé mes larmes
Et j’ai changé les draps.
Mais tu es sourd muet
Et la ville se marre.