Daisy

Daisy

Vendredi 3 décembre 2010 à 12:36

 

Ne me déteste  pas trop,
Tu y perdrais si peu
Tes forces seront vaines
A me rendre ivre morte
En plein après midi.
Ne prend pas cette peine,
Ce serait fatiguant,
De tenter de me rendre folle
En ignorant ma peine
Qui sentirait l’alcool.
Quand tu sentiras, toi, le  souffle,
Ivre saoul, de ma haine
Si douce.
Tu prendras ta brosse à dent, et ton humour en marche
Oui, je m’en moque, Mon amour
Je connais d’autres femmes,
que j’aurais mieux choisies.
J’aurais la gueule de bois
A vingt et une heure trente,
D’avoir vomi mon rêve
Cuvé mes larmes
Et j’ai changé les draps.
Mais tu es sourd muet
Et la ville se marre.

Lundi 15 novembre 2010 à 7:44

Pas trop vite.
Vienne l'hiver,  je vais tomber.
Toutes les feuilles mortes jaunes,
Et la chanson de Prevert.
Mon ventre sourd.
Pas trop  long,
les cheveux mouillés et les oreilles qui sifflent.
C'est toi, non, c'est moi.
Pour joncher le sol de papier bleu,

Mais il ne peut m'imaginer dans mon petit carré en bois.


Lundi 30 novembre 2009 à 18:44

Tu fais semblant de ne pas craquer. Alors moi j'éclate de rire, et je dis que je m'en fou.
Il y a trop de gens autour, et moi j'ai les mains vides.
En verité a quoi tu penses?
T'as l'air si niais quand tu souris.

Fais la gueule pour une fois, cris , mord  moi la bouche, frappe moi dans les yeux.
On est plus dans la cour de récré.
Meme si tes toujours un gamin qui se cache.

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Revenir La queue entre les jambes, ca peux marcher parfois.
Sauf quand on a pas de queue.

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Mardi 20 octobre 2009 à 19:55


 
 Je cour sur le fil . Quand ma raison s'étonne. ne depassons pas midi pile ou les promesses degringolent. J'ai pas grandit sous les limites. Et l'inconstance est mon logis. Quand mes mots d'amour s'ebruitent. D'autres parfums bercent mes nuis. N'ai pas peur que je tombe. Je mentirais si bien et moi j'aurais le coeur qui gronde. Et tu ne verras rien.
Je cour sur le pavé . Quand ma lutte frissone. Je crois les hommes qui disent m'aimer j'attend que les heures sonnent. j'ai pas grandi au bord de l'eau l'incoherence est ma patrie si tout principe me fait defaut, je joue a étre jolie.
Je cour le long des route. Quand mon souffle s'affole. Et ce qui me deroute, ce sont les mots frivole. J'ai pas grandit au fond d'un bois ou la nuit hurle reste la ou la nuit grince les feuilles chantent j'ai pas appris l'indifference.
J'ai pas grandit du tout, les mots coulent et je reste la. J'ai mal un peu partout. J'ai mal au bout des doigts.

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